Extrait du site green republic:
TOMBASANA, la mode éthique en édition limitée
Les sacs, coussins, bijoux et accessoires TOMBASANA viennent agrandir le rayon mode de GreenRepublic. Deux mots d’ordre pour cette nouvelle boutique : éthique et originalité.
Célia Pale, créatrice de TOMBASANA
TOMBASANA, qui signifie « Mademoiselle » au Mozambique, a été fondé en 2006 par Célia Pale. La grand-mère de Célia, couturière sur-mesure au Mozambique, l’initie très tôt à la création textile. À 17 ans, elle crée son propre atelier de décoration d’intérieur. Elle quitte le Mozambique en compagnie de son mari pour s’installer en France. Elle s’installe à Paris, puis part au Brésil pour étudier le design industriel. Elle rentre en France, à Paris, où elle travaille durant cinq ans comme styliste-modéliste pour une grande marque de lingerie. Finalement, elle s’installe à Toulouse pour poursuivre ses études d’art où elle obtient un diplôme d’Arts Appliqués. C’est à ce moment là qu’elle crée sa marque TOMBASANA.
Installée à Gardouch, petit village du sud de la France
Depuis 2010, l’atelier TOMBASANA est installé à Gardouch, petit village de 1000 habitants à 30km de Toulouse. Si Célia fréquente les salons de la mode des grandes villes à la rencontre d’autres créateurs, et expose ses créations dans des galeries marchandes renommées, elle apprécie le calme et le soleil de Gardouch, propice à la création de ses pièces pleines de couleurs.
Un projet à long terme : participer à l’insertion des femmes issues de milieu très modeste en France et au Mozambique
TOMBASANA porte les engagements de Célia, véritable charte éthique, du point de vue économique, environnemental et social.
Economiquement, TOMBASANA, c’est la garantit d’une création originale, en petite série ; chaque patron est décliné en 6 pièces uniques. Les créations de Célia sont « Made in France » et faites à la main. Sur le plan environnemental, les materiaux utilisés sont naturels et viennent d’Europe, les produits synthétiques sont proscrits. Socialement, le nom même de la marque, qui signifie « Mademoiselle », porte le souhait le plus cher de sa fondatrice : travailler à l’insertion de la femme en France et au Mozambique.
Le projet de Célia à long terme : « ouvrir une école professionnelle de textile au Mozambique, passer tout mon savoir-faire et donner un avenir à toutes les Tombasana’s issues de milieu très modeste. »
Célia Pale, créatrice de TOMBASANA
TOMBASANA, qui signifie « Mademoiselle » au Mozambique, a été fondé en 2006 par Célia Pale. La grand-mère de Célia, couturière sur-mesure au Mozambique, l’initie très tôt à la création textile. À 17 ans, elle crée son propre atelier de décoration d’intérieur. Elle quitte le Mozambique en compagnie de son mari pour s’installer en France. Elle s’installe à Paris, puis part au Brésil pour étudier le design industriel. Elle rentre en France, à Paris, où elle travaille durant cinq ans comme styliste-modéliste pour une grande marque de lingerie. Finalement, elle s’installe à Toulouse pour poursuivre ses études d’art où elle obtient un diplôme d’Arts Appliqués. C’est à ce moment là qu’elle crée sa marque TOMBASANA.
Installée à Gardouch, petit village du sud de la France
Depuis 2010, l’atelier TOMBASANA est installé à Gardouch, petit village de 1000 habitants à 30km de Toulouse. Si Célia fréquente les salons de la mode des grandes villes à la rencontre d’autres créateurs, et expose ses créations dans des galeries marchandes renommées, elle apprécie le calme et le soleil de Gardouch, propice à la création de ses pièces pleines de couleurs.
Un projet à long terme : participer à l’insertion des femmes issues de milieu très modeste en France et au Mozambique
TOMBASANA porte les engagements de Célia, véritable charte éthique, du point de vue économique, environnemental et social.
Economiquement, TOMBASANA, c’est la garantit d’une création originale, en petite série ; chaque patron est décliné en 6 pièces uniques. Les créations de Célia sont « Made in France » et faites à la main. Sur le plan environnemental, les materiaux utilisés sont naturels et viennent d’Europe, les produits synthétiques sont proscrits. Socialement, le nom même de la marque, qui signifie « Mademoiselle », porte le souhait le plus cher de sa fondatrice : travailler à l’insertion de la femme en France et au Mozambique.
Le projet de Célia à long terme : « ouvrir une école professionnelle de textile au Mozambique, passer tout mon savoir-faire et donner un avenir à toutes les Tombasana’s issues de milieu très modeste. »
C'est super jolie, et une belle initiative, et équitable....
RépondreSupprimerAlors on dis, on en veux encore.